« savoir devenir » : un nouvel humanisme

  • Des Situations d’apprentissage  nouvelles (pas de monopole de parole savante)
  • Des compétences sociales qui font interaction et construisent le sens
  • Des scénarisation pédagogiques innovantes et bienveillantes par pédagogie du projet et de la participation
  • Interdisciplinarité et Interculturalité
  • De nouveaux espaces et environnements (tiers lieux, fablabs,..)
  • Sur le principe de la gouvernance multi-acteurs (implication de tous)
  • Humanités numériques: disciplines/domaines de recherche existants (littérature, histoire, sciences de la vie…) mais avec outils ou matériaux informatiques augmentés
 humanités créatives, les mêmes, la participation en plus

  • Articulation de structures cognitives, de modes de représentation, et de cadres d’action socialisés
  • Impact sur les communautés de pratiques, les interfaces homme-machine, les productions/réalisations en sortie
  • Gains exponentiels en termes d’engagement et motivation
A terme, modification de la façon de percevoir le savoir et de construire la connaissance (modèles ouverts, co-construction, …)

  • Le périmètre: au delà des filières des lettres, langues, arts appliqués et du design
  • Des modes de financement diversifiés, pas seulement service public ou mécénat privé
  • Des pratiques numériques maîtrisées par l’usager
  • Des secteurs identiques ou recoupant les humanités pré-numériques  en y rajoutant les outils de l’augmentation et de la médiation numérique
  • Des interactions entre secteurs de production, distribution et consommation impliqués
C’est la notion de participation, — individuelle ou collaborative —, qui est au cœur des enjeux des industries créatives et qui les différencie des industries culturelles. Cela tient aux BRICS, aux deux versants des biens culturels à l’ère numérique, le relationnel et l’expérientiel, fortement imprégnés par la culture des réseaux et par une représentation de la culture comme « réseau cognitif distribué » selon Merlin Donald.

De même pour les humanités créatives

De l’augmentation à la transformation

Les outils de la médiation numérique produisent une modification de la réflexion, de la recherche  et de la prise de décision.

 

L’analyse d’un grand nombre de données big data nous amène à chercher dorénavant la corrélation entre plusieurs faits au lieu de la causalité. De même pour la small data et la self data. Prise en compte de la complexité.

Nos jugements et décisions ne sont plus basés que sur des explications rationnelles et linéaires. Ils sont fondés aussi sur des explications relationnelles et expériencielles et non-linéaires.

D’où le lien avec les industries créatives qui créent deux nouveaux types de biens culturels: biens relationnels et bien expérienciels (BRICS).

Les humanités créatives sont fondées sur la participation.

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