Renforcer les capacités par les retombées en savoirs médians en articulant usages et apprentissages

Les retombées en « savoirs médians », définis comme la vulgarisation de haute qualité des résultats de la recherche en direction des communautés d’apprentissage et de formation, se feront autour du couple « usages/apprentissages ».

Elles mettront la notion d’information au centre de différentes contraintes systémiques, pour certaines typiques de la situation française, pour d’autres partagées avec d’autres systèmes scolaires, scientifiques et économiques.

Elles recoupent les différents paradigmes d’apprentissage en présence : la transmission (savoirs constitués à reconstruire dans des institutions), la co-construction des connaissances (par le développement de compétences et d’instruments partagés de médiation) et la participation (construire des savoirs dans des communautés).

Contribuer au développement numérique durable

Les retombées des translittératies sont nombreuses :

* l’employabilité et la citoyenneté sont les plus attendues et les plus souvent discutées dans les débats publics et scientifiques ;

*le savoir-devenir tout au long de la vie l’est moins alors qu’il est moteur dans l’engagement des apprenants dans les cultures de l’information;

*les cultures de l’information sont perçues comme une étape de transition indispensable pour comprendre le développement numérique qui se met en place et en valoriser les apports pour les Sociétés du savoir (Knowledge Societies) préconisées par l’UNESCO, au-delà du paradigme dominant actuel de « Société de l’Information » (Information Society);

*Le développement numérique durable n’est pas dissocié du développement humain et relève de deux urgences d’adaptation au XXIe siècle : l’urgence numérique et l’urgence climatique.

De manière générale, les travaux de la Chaire s’inscrivent dans les choix d’action prioritaires établis par l’UNESCO, à savoir :

  • l’élaboration de projets scientifiques qui articulent le passage de la recherche fondamentale à la recherche appliquée.
  • l’articulation recherche/ formation.
  • l’appel aux technologies de la communication pour la formation comme pour la recherche (formation à distance, E-formation, E-learning).
  • l’inscription des activités dans une perspective de développement Nord/Sud et Nord/Sud/Sud
  • le lien aux travaux entrepris par l’UNESCO dans le même domaine et la capitalisation sur les réseaux déjà existants (ORBICOM, MILID, GAPMIL ) et par l’Alliance des civilisations (UNAoC)

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